Mon corps s'engourdit comme une anesthésie
Comme une attente qui n'en finit pas
J'attends de vivre la vraie-vie
Les yeux des autres me jugent
Me déchirent
J'habite leurs limites comme une prison
Les yeux des autres me jugent
Me déchirent
J'habite leurs limites comme une prison
Le quotidien m'étouffe
Les gestes sans cesse répétés épuisent la sincérité
Les gestes sans cesse répétés épuisent la sincérité
Je perds le texte de mon rôle
Je bafouille ma vie
Sous le masque
Jai peur
J'ai peur des usines des bureaux j'ai peur des villes
J'ai peur de l'ordre
J'ai peur des contraintes j'ai peur de vivre
Je mutile mes rêves pour leur ressembler
Je bafouille ma vie
Sous le masque
Jai peur
J'ai peur des usines des bureaux j'ai peur des villes
J'ai peur de l'ordre
J'ai peur des contraintes j'ai peur de vivre
Je mutile mes rêves pour leur ressembler
Je désintègre ma vérité pour m'intégrer
L'avenir s'évanouit
Il ne reste qu'aujourd'hui
Il ne reste qu'aujourd'hui
Hier
L'oubli
Je m'ennuie dans la foule
Je m'efface peu à peu sans laisser de traces ••••
Pourtant derrière le masque
L'oubli
Je m'ennuie dans la foule
Je m'efface peu à peu sans laisser de traces ••••
Pourtant derrière le masque
Quelque chose se débat
Un désir palpite hors la contrainte
Un désir palpite hors la contrainte
Un geste refuse l'habitude
Derrière le masque
Quelque chose m'habite
Qui fait naître le malaise
Mais qui ressemble à la Vraie-Vie
Alors le masque s'effrite
Derrière le masque
Quelque chose m'habite
Qui fait naître le malaise
Mais qui ressemble à la Vraie-Vie
Alors le masque s'effrite
Le jeu anime le rôle
La peur se dépasse
TOUT EST PERMIS ••••
La peur se dépasse
TOUT EST PERMIS ••••
Channe
Muriyat
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